Héphaistos avait quitté L'olympe, de bonne
heure .. Il était parti dans le mode des mortelles, sans savoir oû il
allait vraiment. Il avait donné rendez-vous a Apollon, un des dieux,
avec qui Héphaistos arrivait à s'entendre .. Il avait donné un lieu
précis, qui était le lycée .. le lycée, pourquoi ? Il n'en avait aucune
idée, mais il avait juste voulu que Apollon et lui parlent entre eux.
Quand il descendit sur terre, Héphaistos ne se dirigea pas de suite vers
le point de rendez-vous, mais aux restaurants de la ville. New York
était immense, il possédait de magnifiques immeubles dotés d'une
trentaine d'étages, des magasins, qui aujourd'hui étaient fermés et des
entreprises .. Mais ici ou ailleurs, le temps était le même, froid de
canard, les flocons de neiges tombaient, le vent soufflait très peu ..
Pour les habitants, ils étaient toujours pareils .. les uns étaient
travailleurs, les autres ne disaient que des injures, d'autre encore
étaient à la rue et d'autre faisaient les magasins. Héphaistos, lui
était plutôt heureux de ne pas vivre cela, il était la plupart du temps,
tranquille. A l'olympe on ne l'avait pas toujours respecté, mais
maintenant il avait la paix. Héphaistos
sorti de ses pensées et se dirigea vers le lycée ou devait attendre
Apollon. Sur la route, il croisa des mortelles, hommes comme femmes, des
animaux et d'ignoble petits humains en train de pleurer, ce qu'on
appelait enfaîte des bébés. Quand il fut arrivé au lycée, il n'aperçu
aucune trace d'Apollon .. Avait-il eu un problème ? Surement pas ! Le
dieu forgerons trouva un banc et s'assit. Il sentit son portable vibré,
mais ne s'en occupa pas .. Cela pouvait être Apollon lui disant qu'il ne
venait pas, mais Héphaistos resta les mains dans les poches, le regard
fixé sur le bâtiment que tous les enfants détestaient .. Les élèves,
aujourd'hui avaient cours, les pauvres petits enfants .. Héphaistos lui
était bien heureux de ne pas être a leurs places et s'il y était, il
aurait surement brulé les professeurs .. Quel jeux amusant ? Enfreindre
les règles, répondre au profs, cela devait tout de même être un jeu
drôle ! Prendre la forme d'un élève et faire n'importe quoi .. Héphaistos
décolla son regard du lycée et leva la tête vers le ciel de façon a
regardé le ciel .. Pour les hommes, les dieux étaient quoi ? Des êtres
imaginaires, inventés, surement stupides .. Un humain aurait pu dire
autre chose sur les dieux, mais Héphaistos savait que les dieux
existait, vu qu'il en était un .. Ses propres enfants, grandissaient
eux, avec des mortelles et rejoignaient ensuite leurs camp respective ..
Pour un mortel, savoir que son père ou sa mère et une déesse doit être
lourd a poster, déjà il apprendrait qu'il n'est pas comme les autres et
qu'il n'a pas le même avenir .. Qu'est-ce que ses enfants devaient
penser de lui en apprenant qu'il était un père qui ne méritait aucun
fils ? Il avait maintenant le regard vite, dans ses pensées, le dieu
passerait toute la journée a cogité dans son coin .. mais ce n'était pas
le but de sa petite sortie, maintenant qu'il avait une petite idée de
ce qu'il allait faire de sa journée, son moral remonta .. Il
se leva du banc, le regard dans le vide à regarder les flocons tombés
.. Si venir sur la terre des imortelles lui fesait cette sensation a
chaque fois, il ne reviendrait plus ou c'est peut-être une question
d'habitude .. Alors que les flocons tomaient toujours aussi nombreux,
l'un vint se poser sur le nez du dieu. Ce dernier voulu l'enlever avec
la main, mais ne le fit pas .. Il était dieu après tout .. Il regarda le
flocon ou plutôt essaya de le regarder puis le fit bruler. Sur le coup,
il sentit de l'eau sur le nez .. Ce
petit flocon qui était venu par malheur sur son nez avait fini fondue.
Pas de chance ! Alors que le vent continuait a soufflé, Héphaistos
frissonna, lui qui avait l'habitude de forger des armes, dans le chaud
en compagnie du feu était aujourd'hui dans le monde des humains,
attendant Apollon en compagnie du froid et des flocons .. D'ailleurs, le
dieu des forges ne voyait toujours pas Apollon. Il mit sa main dans la
poche et sortit son portable, il baissa la tête de façon qu'aucuns
flocons ne viennent sur son écran. Sur le portable, il y avait trois
nouveaux messages, mais en entendant des bruits de pas, Héphaistos
rangea son téléphone et regarda le nouveau venu .. Enfin !