Il y a des années de ça, un groupuscule de Sorciers Maléfiques essayèrent de créer une sorte d'épidémie pour tuer les humains, pour qu'ils arrêtent de se cacher continuellement. Mais l'expérience a mal tourné, les Sorciers furent tués, ce qui n'empêcha pas l'épidémie à se répandre, par contre l'épidémie ne touchait pas les humains comme l'avait pensaient les Sorcier, mais à toutes les races magiques, en plus des quelques humains pouvant utiliser la magie. Très vite l'épidémie fut enrayée, ce qui n'empêcha pas qu'il y eut des dizaines, des centaines de morts. On accusa les Sorcier d'avoir créer une épidémie pour tuer les êtres doués de magie, pour qu'ils puissent régner sur le monde. Un jour, un sorcier, que personne ne connaissait, arriva pour expliquer ce que faisait exactement le groupe de Sorciers Maléfiques. L'homme ne fut pas pris au sérieux, ce même homme dit à l'ensemble de la communauté magique qu'il fallait trouver les personnes doués de magie parmi les humains et réveiller leur magie. Personne ne l'écouta, alors il décida de partir pour ne pas voir le monde magique s'effondrer. Il rencontra plusieurs jeunes hommes et femmes qui le croyaient, alors ils firent route vers le Sud et ils découvrirent où habitait l'homme. Il habitait dans une maison immense, faisant plusieurs dizaines de mètres. Une des jeunes femmes fit la réflexion que cette maison pourrait contenir une école voir deux, et l'homme leur expliqua que cette maison était une école des temps anciens, et qu'elle n'attendait plus que de nouveaux élèves. Après une grande réflexion, le groupe décida donc "réveiller" la maison et de commencer les cours avec l'homme qui voulait qu'on l'appelle : Professeur Lescar. Ils vivèrent heureux pendant plusieurs années, apprenant chaque jour plus sur la magie. Mais, contrairement à ce que croyait la communauté magique, l'épidémie avait aussi touché les humains non-doués, car elle avait réveiller les pouvoirs des plus puissants d'entre eux, et même fait apparaitre des races qui n'existaient pas avant. Le Professeur Lescar était ravi, car de plus en plus de monde venait dans son école pour pouvoir maîtriser sa magie. Aidé de ses assistants, qui étaient maintenant des professeurs, il leur appris les bases de la magie. Mais la communauté pensait que c'était Lescar qui avait réveillé la magie, alors il allèrent le chercher pour le tuer, mais celui-ci, avant d'être emmené par les bourreau, cacha l'école et ses occupants. Des années plus tard, une jeune femme décida de partir à la recherche du mythe de l'école Lescar. Sachant qu'elle serait suivis, elle décida, si elle trouvait l'école, de lui changer son nom, pour que la communauté croie qu'elle avait fondé une nouvelle école. Elle découvrit tous les secrets de l'école Lescar, et aussi le nom de l'école dans les Temps Anciens : Aléséa. Elle l'appela donc Aléséa's School, devint la directrice, refonda les Suites, remit l'école toute propre et commença à chercher des professeurs et des élèves. Elle trouva un jour un parchemin qui racontait l'histoire entière du Professeur Lescar, et, entre autre, à quoi correspondait les suites. Elle découvrit que le groupe qui avait suivit Lescar était composé de deux femmes et d'un homme. La première était une riche bourgeoise qui s'était enfuie de chez elle car son père voulait la marier de force, le blason était une Licorne, symbole de richesse et de sagesse. La deuxième femme était, quant à elle, une paysanne, qui était partit car sa famille l'avait bannis à cause d'un jeune homme, elle portait, en son souvenir, une étoffe avec dessus un Pégase, symbole de grâce et de joie. L'homme, était un chevalier fougueux, à la recherche de connaissance, son blason était un Phénix, qui correspondait bien à son tempérament, fougueux, courageux et qui renait de ses cendres. La directrice décida donc d'appelé les suites comme les blasons, pour ce souvenir de ces Professeurs. Les élèves et les professeurs ne tardèrent pas a arrivé, par contre la communauté se doute de quelque chose, et elle est plus proche qu'on le pensait et, surtout, elle connait le secret de la directrice.